Plusieurs établissements scolaires ne font plus partie du paysage actuel de la commune. Certains ont disparu, d’autres déplacés ou rénovés.
La première mention d’une maison d’école dans les archives municipales remonte à 1854. On suppose qu’elle date du début du XIXe siècle. A l’époque la commune rurale comptait autour de 200 habitants.
Située au Village, elle est fermée pour insalubrité en 1887.
Construite rue de Villacoublay, elle remplace la maison d’école jusqu’en 1932.
Avant d’être transformée en bureau de poste.
Erigée avenue du Capitaine Tarron, elle est baptisée en hommage à l’épouse du président de la République de l’époque.
Elle eut une courte existence et est démolie en 1970 avec la réalisation du collège Maryse Bastié pendant la construction des grands ensembles.
Placée derrière l’ex-mairie à la place de la médiathèque, l’école élémentaire devient trop vétuste et trop petite
au début des années 1980 pour répondre aux besoins des Véliziens. Elle sera détruite 1982.
A sa place sera érigé l’ensemble Bernard Dautier, qui regroupe aujourd’hui la résidence pour personnes âgées Madeleine Wagner, la médiathèque et une crèche.
Située rue Marcel Sembat, la maternelle était composée de trois classes et un préau. Elle est transférée en 2008 dans le groupe scolaire Ferdinand Buisson.
Placée sur l’actuel tracé du tramway T6, le bâtiment devra être démoli.
Construite en 1959, le groupe scolaire est intégralement rénové en 2009- 2010 à l’occasion de la rénovation de l’îlot Mermoz.
L’ancêtre du collège Saint-Exupéry, où se situe L’Onde aujourd’hui, a été victime d’un incendie.
Deux ans plus tard en 1981, il est déconstruit et un nouveau bâtiment portant son nom voit le jour avenue Robert Wagner.
Cette école ouvre en 1975 au 11 rue Exelmans. Elle comprend 10 classes primaires et 4 classes maternelles.
En 1982, une partie des locaux est affectée à l’inspection départementale de l’Education et au secrétariat de la Commission de la Circonscription périscolaire et Elémentaire (CCPE). Elle devient ensuite un centre social.
En 2016, sa démolition est actée par le conseil municipal à l’emplacement où est construit l’espace Jean-Lucien
Vazeille.